Description
“Le livre défend la véracité et l’apprentissage du goût de l’amer. Il n’y a nulle vision béate du monde et de ses souffrances. Au contraire, la thèse défend qu’il faut renoncer à l’idéal de réparation, qu’il faut se libérer de cette injonction, de cette certitude d’avoir été victime d’une injustice pour créer et “réparer” autrement. C’est là le chemin pour l’individu. En revanche, il est du devoir des sociétés démocratiques de fabriquer tous les outils possibles, institutionnels et civils, pour lutter contre le ressentiment, notamment en produisant les conditions socio-économiques et culturelles de l’émancipation des individus.” (C. Fleury)
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.